Villas, manoir, albums… Sylvie Vartan possède-t-elle tout l’or du monde ?AFP
En 2018, la chanteuse Sylvie Vartan avait sorti "Avec toi", un album de reprise de Johnny. Un nouveau disque-hommage qui pourrait contribuer à la fortune, déjà conséquente, de Sylvie Vartan…
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"Riche, je suis riche" : la véritable fortune de Sylvie Vartan

"Avec toi", le dernier album de Sylvie Vartan, vient de sortir. Un hommage en musique à Johnny Hallyday, dont le nom est aujourd’hui associé à des affaires d’héritage, d’argent et de patrimoine. Ce disque s’ajoute aux nombreux autres qu’elle a déjà vendus : au moins deux millions, d’après le site sylvie-vartan.com, qu’elle a officialisé en 2003. De quoi constituer un patrimoine considérable ?

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A en croire son patrimoine immobilier, la chanteuse n’a en effet pas trop à s’en faire. Elle est propriétaire à 50% d’une somptueuse maison installée dans le très chic quartier de la Villa Montmorency, à Paris. La propriété mesure 400 m² et compte 600 m² de terrain, rapporte Gala. En 2002, la demeure est estimée à 3,05 millions d’euros, précise Le Point. Depuis, les prix auraient bondi de 233% et le m² coûterait pas moins de 46 000 euros.

Pour rappel, la villa Montmorency est un îlot parisien particulièrement select où l’on retrouve de nombreux milliardaires, bien que certains d’entre eux soient partis durant le mandat de François Hollande. Y ont notamment vécu Alain Delon, Alain Afflelou ou Xavier Niel, rappelle Capital.

Ce n’est pas le seul bien foncier dont jouit la star. Comme le rappelle Gala, elle est également propriétaire d’une villa à Los Angeles, en plein cœur de Beverly Hills, à quelques kilomètres d’une autre villa… Possédée par Laeticia Hallyday.

Par le passé, la famille de Sylvie Vartan possédait également l’impressionnant manoir de Gagny, situé près du village de Loconville, en Picardie rappelle le site people Purepeople.

"Riche, je suis riche" : Sylvie Vartan a-t-elle profité de Johnny Hallyday ?

Lors de son divorce avec Sylvie Vartan, le Taulier s'était engagé sur deux points : laisser 50% de la propriété villa Montmorency à son fils, David Hallyday, et verser une pension alimentaire de 20 000 francs mensuels (3 000 euros) à la chanteuse. Une somme que l'interprête de "Riche" assure n’avoir jamais perçu. "Les 20 000 francs que je devais recevoir par mois pour élever notre fils, il ne me les a jamais donnés. Je n’ai jamais voulu lui faire de procès. J’ai les preuves de tout ce que j’avance et, au lieu de les montrer à une certaine presse, tous les documents sont chez les avocats", a-t-elle expliqué dans une interview reprise par Gala.

Dans les colonnes du Figaro, elle s’est également défendue du procès qui lui est parfois fait depuis la mort de l’idole des jeunes. Pendant la promotion de son album de reprises, on lui a notamment reproché de surfer sur le succès posthume du chanteur. "C’est mal me connaître de dire que je profite de Johnny", commence-t-elle. "Artistiquement, c’était inconcevable de ne pas le chanter, de ne pas le chanter, de ne pas lui rendre hommage. C’était obligatoire. Je n’allais pas faire comme s’il n’avait jamais existé. Je n’ai jamais profité en rien. C’est mon 64e disque, je veux dire que ce n’est pas nouveau", a-t-elle poursuivi.

"Riche, je suis riche" : Tony Scotti, le nouvel époux fortuné de Sylvie Vartan

Après quinze ans de vie commune et un mariage en dents de scie, Sylvie Vartan et Johnny Hallyday divorcent. La chanteuse se remarie à Los Angeles, le 2 juin 1984, avec Tony Scotti. L’américain, issu d’une famille de mélomane fonde la maison de disques Scotti Bros. Records avec ses frères. Il a produit de nombreux artistes célèbres comme James Brown… Ou Sylvie Vartan, qu’il rencontre dans les années 80. Un succès "florissant" d’après Gala  qui, à l’évidence, lui a permis d’accumuler un certain patrimoine.

L’aide qu’il a fourni à David Hallyday constitue un bon exemple de l’étendue de sa fortune. Le fils de Sylvie Vartan devait 3 millions d’euros au fisc, quand le producteur américain a épongé sa dette. "C’est Tony Scotti, son beau-père, qui a tout réglé. De toute façon, Johnny n’avait pas les moyens de payer cette dette, il ne payait pas ses propres impôts", confirment des proches du chanteur, dans les colonnes de Paris Match (édition papier). Ils démentaient alors une information au sujet des coups de mains donnés par Johnny à ses enfants, indique encore Gala.