Jordan Bardella, tête de liste du Rassemblement national et Valérie Hayer, qui représentera la majorité présidentielle, s'affronteront ce jeudi 2 mai dans un débat diffusé sur BFMTV. Sondages, sujets,...
Si vous étiez en couple marié, vous pouvez toucher une partie de la retraite de votre conjoint ou conjointe décédé.e. Mais une situation de concubinage change la donne.
Moins de la moitié des personnes en perte d’autonomie est aidée par une aide professionnelle : ce sont souvent les proches qui occupent ce rôle, non sans rencontrer certaines difficultés. Et si tout ça pouvait...
Entrée très tôt dans un réseau de Résistance, Mathilde Carré a travaillé comme agent double, entretenant des relations très étroites avec l'occupant. Voici son histoire.
L’été qui approche, même s’il ne se fait pas encore ressentir dans les températures, pourrait vous donner envie de faire construire votre piscine. Voici les conseils d’un expert pour éviter les écueils...
L'auteure Mathilde Le Guern raconte avec humour la vie de stagiaire dans son livre "Tu sais que tu es stagiaire quand...", aux éditions First. Pour certains, c’est l’occasion de se rappeler l’entrée dans la...
Plus qu'un slogan, une philosophie. Depuis le dépôt de la candidature en 2016, le Comité d'organisation des Jeux olympiques et paralympiques de Paris 2024 (Cojop) n'a eu de cesse de répéter que ces Jeux, seraient "populaires" et "accessibles à tous", relaie France info.
Brandis en étendard dans chaque discours, à commencer par ceux du patron des Jeux Tony Estanguet, ces mots, en forme de promesses, ont fini par se retourner contre les organisateurs, pris au piège de leur propre communication. À l'épreuve des faits, des critiques ont, en effet, surgi sur le prix des places, le mode de tirage au sort pour acheter des billets, mais aussi la hausse des tarifs du ticket de transports en commun ou encore l'accessibilité pour les personnes en situation de handicap.
Avec plus de quatre milliards de téléspectateurs, les Jeux Olympiques et Paralympiques restent le plus grand événement sportif planétaire. 10 500 athlètes, 28 sports, 206 délégations, 26 000 journalistes accrédités : pendant deux mois, la France va vivre au rythme des JO d'été pour la troisième fois de son histoire, après les jeux de Paris en 1900 et 1924. Un siècle se sera écoulé depuis les derniers jeux d'été en France, mais aujourd'hui les enjeux économiques, environnementaux ou sociétaux ont radicalement changé.
Lors de ses traditionnels voeux télévisés de fin d'année, Emmanuel Macron a insisté sur le fait que "2024 sera un millésime français". "Nous serons fiers de nos athlètes, de nos artistes, de nos paysages", poursuit-il. Alors, sera-t-on fier de cette échéance qui se présente à toute allure dans notre pays ? Découvrez dans notre diaporama ci-dessous quelques éléments de réponses.
Lorsqu’on regarde les études, on voit que le soutien aux Jeux est exceptionnellement élevé. L’image est positive auprès de 70 % de la population. Ça ne veut pas dire qu’il n’y a pas des inquiétudes, des attentes, des questions légitimes sur l’impact sur le quotidien des Français, mais ils ont envie des Jeux.
C’est un élément capital des prochains Jeux olympiques à Paris: la menace virtuelle et numérique. Avec les cyberattaques survenues lors des précédents événements sportifs, la menace cyber est très scrutée par les forces de sécurité. Le 14 juin dernier, le commandement de la gendarmerie dans le cyberespace a émis une note de trois pages à diffusion restreinte pour dresser l’état de cette menace à l’approche des JO.
Tout comme la cybersécurité, la sécurité tout court encourt de grands dangers à l’approche du jour J. Même si les responsables politiques tentent de calmer le jeu en rassurant, la menace pèse.
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